Jean Jaurès (1859-1914) Entre tardivement dans l’affaire Dreyfus qu’il juge d’abord sévèrement sous l’angle de la lutte des classes. Puis le procès Esterhazy le révolte et il agit de manière déterminante en faveur jusqu’à la réhabilitation d’Alfred Dreyfus, notamment par un discours de deux jours à la Chambre en 1903. Cet engagement amène le gouvernement à saisir une dernière fois la Cour de cassation qui innocente Alfred Dreyfus en 1906.